L’Institut du Genre en Géopolitique et Equipop publient un rapport d’analyse du numérique tel qu’il contribue au phénomène mondial de backlash contre les femmes et les personnes LGBTI+, qui se caractérise par une montée en puissance des discours masculinistes et anti-droits, et a un impact politique bien réel.

Nous avons pu exposer à une audience engagée nos conclusions quant aux actions en lignes des mouvements masculinistes, les conséquences sur l’engagement des femmes et des personnes LGBTI+ sur les réseaux sociaux et l’impact politique très concrets de ces attaques au sein de l’Union Européenne, dans la mouvance d’un backlash toujours plus violent.

Nous avons également pu démontrer la responsabilité de la Big Tech et l’urgence de réguler les plateformes numériques et les réseaux sociaux, comme proposé parmi nos 5 axes de recommandations pour renforcer la protection des internautes.

Merci à Madame la députée Véronique Riotton et aux co-fondatrices de #StopFisha, Shanley Clemot McLaren et Hana OUTAIK d’avoir alimenté cette discussion avec leurs travaux et expériences respectives dans leur lutte contre les cyberviolences !